• Les vignes et le vin

    Les vignes

  • Il y a peu de choses qui m'énervent plus que ces sites de vente de vins en ligne qui ne proposent que des vignerons à la mode.

    C'est commode, les noms reconnus attirent l'oeil ; mais bien souvent les prix sont généralement proportionnels à la renommée de l'artiste, et une carte composée exclusivement de ces crus calme vite les ardeurs de beaucoup d'acheteurs... lorsqu'ils  regardent la colonne de droite.

    Quant à la qualité des vins, le débat est ouvert un peu partout. Je ne prendrai pas parti ici, sauf à préciser que ma fosse sceptique a déjà été alimentée avec le ploussard d'un vigneron arboisien dont la cote ne cesse pourtant de monter.

     


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  • Bonjour

    Ce matin, mise en bouteilles de quelques flacons de notre apéritif préféré.



     

     

     

     

     

     

    Le Macvin du Jura (appellation contrôlée), bien sûr !!!!


    La photo n'est pas terrible,mais comme le disait à juste titre Alfred de Musset :"Qu'importe la photo, pourvu qu'on ait l'ivresse".


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  • Bonjour

    Voyez cette photo :

     

     

     

     

     

     

     

    Il ne s'agit pas de vous faire part des conditions dantesques dans lesquelles je travaille (cela fera l'objet d'une publication ultérieure), mais de vous montrer une parcelle de vigne arboisienne vieille d'un siècle.

    Elle aurait été plantée en 1914 et serait la plus ancienne de la cité qui, rappelons-le, a vu grandir Pasteur.


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  • Voici un article présentant un vigneron jurassien que j'ai plaisir à faire connaitre.

    D'abord parce que l'hommage est sublime, et surtout parce que le bonhomme mérite grandement les honneurs.


    Je connais Jacques Puffeney pour avoir travaillé chez lui.

    Homme sympathique et débonnaire, il fait référence en Pays Arboisien.


    Respect.


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  • Bonjour

    Une tendresse particulière pour ce rouge-queue...noir qui m'a tenu compagnie toute une journée dans une parcelle de vigne.
    Il allait d'un piquet à l'autre en me tournant autour.


     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Le lendemain, je suis allé 200 mètres plus loin dans une parcelle non visible de la première. Au bout d'un moment, mon piou-piou a réapparu pour encore me tenir compagnie.

    Je cherche encore le but de son manège.


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